Réussir dans la vente : relever des défis

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« Réussir dans la vente : relever des défis »

« Acceptez les défis, ils vous permettront de sentir l’excitation de la victoire »

– Général Patton

J’aime toujours le défi que la vente m’offre de compétitionner tous les jours, la chance qu’elle m’a donnée de découvrir mes talents, mes forces et de les exploiter, le défi qu’elle me pose chaque jour de chercher à me dépasser et à devenir une meilleure personne.

Je ne sais pas si vous aimez les défis mais aujourd’hui, le 3 octobre, pas besoin de chercher bien loin : le dernier trimestre de l’année 2011 est déjà bien entamé. Que vous tiriez de l’arrière par rapport à vos objectifs ou que vous soyez en avance sur ceux-ci, voici un bon défi : terminer l’année en beauté. Pourquoi pas ? Pourquoi ne pas vous fixer un objectif plus élevé en termes de volume ou d’accroissement des ventes, concevoir un bon plan d’action, et GO GO GO… jusqu’à la fin ?

Nous sommes ici au coeur de ce qui permet à un vendeur d’évoluer : sa façon de percevoir son rôle, ce qu’on attend de lui, son acharnement à faire ses chiffres et à rencontrer ses quotas. Réussir ou non, ce n’est pas ce qui importe. Le plus important, c’est de relever le défi. Cette tâche que l’on accepte et à laquelle on s’attaque et plus que tout, les leçons qu’on en retirera et qui viendront transformer notre pensée et notre attitude.

De toute façon, que pouvons-nous faire d’autre ? Chaque tâche d’un vendeur représente un défi : solliciter un  nouveau client, obtenir sa confiance, s’assurer de présenter une offre qui corresponde à ses besoins, répondre à toutes ses interrogations, toutes ses craintes, le convaincre de passer à l’action, toutes les étapes d’une vente représentent un défi.  Mais le plus grand défi, c’est toujours celui qui concerne notre responsabilité par rapport à nos objectifs : s’organiser pour faire en sorte de dépasser nos quotas de vente.

Je ne sais pas si vous connaissez Don Juan, personnage mythique de l’oeuvre de Carlos Castaneda. Pendant quinze ans, ce dernier devient l’apprenti du vieil indien qui l’aide à prendre conscience que son état d’homme ordinaire est un état d’asservissement qu’il doit troquer pour celui de la liberté et du pouvoir, celui du Guerrier.  Pour Don Juan, un Guerrier ne peut vouloir être ailleurs car il considère chaque chose comme un défi. Sa vie est un défi perpétuel. Il ne peut se permettre aucun laisser aller. En toutes choses, il agit toujours stratégiquement sans aucun souci d’échec ou de victoire. Quoi qu’il fasse, il s’amuse à le faire et s’y engage totalement comme si c’était la chose la plus importante au monde, car en réalité, c’est la chose la plus importante puisque c’est celle qu’il choisit de faire.

Considérer chacune de vos tâches comme un défi, c’est donner à chacune une valeur d’égale importance. C’est traiter chacune de la même façon énergique, de l’accueillir comme une occasion unique d’apprendre, d’évoluer, de se surpasser, de l’envisager comme une véritable aventure. Même si actuellement, vous avez un peu de retard sur vos objectifs annuels, ce dernier trimestre  de 2011, ce n’est pas une épreuve, c’est une aventure. L’épreuve fatigue, l’aventure stimule !

Bonnes ventes !

Michel Bélanger